LA route est longue pour celui qui chie des poèmes: Lorsque ma verge ferme se dressa, j'éructai, "j'éjacula"... Putain la guerre des éditeurs de poésie... Des stands clos sous des "radaches" (grosses averses en argot ardennais), des croutons, des vieux croutons, des mega-vioques dégoulinant dans leurs gobelets de pinard pourri. La poésie ne conserve rien et et ne concerne personne. Ils sont tristes, las, le fion fisté par les fistons des bourgeois qui croupissent à Saint-Sulpice.
Andy Verol
http://andy-verol.blogg.org/