Je t'arrache les couilles, comme d'habitude, je t'arrache les couilles et tu chiales du pus, toi et ta salope/ Moi et mes viscères.
Et ton sourire de pute je te l'enfonce dans le cul, trululu
Avec tes deux pauvres petits bras, tralala
Ce soir ma maman s'est gavée de stéroïde et toi, salope, tu pleures parce que Jeffrey est trop distant, tellement vague et à la fois si subtil, et toi, tu sens tes ovaires se frotter entre eux par peur de mourir de froid, tu chiales pour un simple trou béant à combler ?
Mais moi, mon trou, il est invisible à tes yeux collés par le foutre.
J'irais volontiers plonger dans ta chatte déjà bien trop usée divers instruments de mécaniques, ce qui précèdera les quelques coups de poings que tu te prendra dans le bide.
Que tu te prendra dans les jambes.
Que tu te prendras au fond de la gorge avec mon foutre glacé.
Mais je vais d'abord t'arracher une à une les dents pour que mon passage soit plus fluide, hein, ça te plairait ça ? CA TE PLAIRAIT COMME APPROCHE DIPLOMATIQUE?
J'ai encore quelques heures avant de rejoindre mon pote Cyrano, et Monie est étalée sur le lit, la main sur son doux visage en sang, toujours secouée de spasmes et implorant la fin de cette journée de merde. Je me laisse bercer par ses gémissements entremêlés de pleurs ridicules, et m'allume un joint pour reprendre mon souffle.