ça m'est venu comme ça. Mes pensées/tourne/en/rond ruinaient mes roupettes et ma réussite. Dans l'cul dément d'la maison à papa, y avait une belle-mère qui se mettait bien en culotte pour montrer les poils de sa chatte à travers la dentelle/tout/ça. A la cantine on avait droit à ce qu'ils appelaient de la purée. Aux chiottes, pendant les cours, un pion envoyait sa purée dans ma gueule. Surtout ma joue gauche. J'étais à genoux. Je le branlais devant ma bouche grand ouverte. Il retenait son souffle. Il serrait fort ma touffe de tifs derrière. Je pensais à la Mongolie, la vie de ces gens dans les yourtes. Je pensais aussi à quand je serais aussi connu que Nicolas Sirkis. Je pensais aux cuisses encollantées de cette Fabienne sexy. Ses seins. J'accélérais la branlette. C'était un mec petit et maigre le surveillant. Il aimait le reggae et plaisait bien aux filles de ma classe. Mais ce qu'il préférait par dessus tout, c'était que je branle sa queue dure dans les chiottes, c'était de se pencher sur moi, c'était de me sussurer dans l'oreille: "T'aime ça hein petit pède..." Quand il avait lâché son sperme, une fois sur deux, il s'excusait en rangeant sa queue. Il disait qu'il ne fallait pas en parler. Il disait: "Je t'ai pas fait de mal hein?" Ses mains tremblaient toujours. Il avait un sourire réconfortant... Jusqu'au jour où je lui demandai s'il voudrait me laisser tranquille "sinon je dirai tout." Alors il a cessé. Et maintenant. Je vais mieux...
Andy Verol
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